Lionel
SPECIALE | LE NORD EST : | |
Dernier volet de notre tournée hexagonale ce soir avec le Nord Est… Une petite demi heure sur la région la moins productive en Rock mais ou certains groupes auront su tirer leurs épingles du jeu… De la Bourgogne, avec Nevers et Dijon, à l'Alsace avec Strasbourg et les Kat Onoma, et enfin le Nord et Lille et ses Watchmain, voici une facette supplémentaire et surtout la fin du périple de notre "Tour de France" façon Rock’n’roll... | ||
La Bourgogne : Sans aucun doute la région la plus rock du Nord Est… On commence avec une visite guidée de Dijon | | |
LES CALAMITES | Le combo féminin signera beaucoup plus tard un suucés avec "Vélomoteur", mais voici un morceau de leur meilleure période | |
LES SNIPERS | Quand Viendras l'Eté | Les copains des Dogs, ils seront d'ailleurs produit par Lionel Herrmani, du label rouannais Melodie Massacre |
Et on termine cette visite bourguignonne avec la ville de plus Rock'N'Roll de l'Est de la France, Nevers avec son café Rock "le Charbon", les Tambours Du Bronx, etc... | | |
THE CHASMBRATS | These Days Are Gone | Avec des membres des Tambours du Bronx, autre groupe important de Nevers |
SHREDDED ERMINES | Would I Ever Love ? | Produit Par Kid Pharaon, la voix de Stephane Ermlin et la production du disque ne vous laisseront pas indifferent |
La perle de l'Alsace, voici le meilleur groupe du Nord Est, créé en 1980 qui signifie en grec « comme son nom l'indique », voici… | | |
KAT ONOMA | A Birthday | Créé en 1980 à Strasbourg, la musique de Kat Onoma est influencée par le Velvet Underground, Ornette Coleman, les Troggs ou encore Leonard Cohen. Elle repose sur des climats généralement sombres dominés par la voix et la guitare de Rodolphe Burger, accompagnées de cuivres - la trompette de Guy "Bix" Bickel, et le saxophone de Philippe Poirier, de la basse de Pierre Keyline et de la batterie de Pascal Benoit |
Place aux Moules Frites de Lille, avec un morceau détonnant et Les Watchmen | | |
WHO WATCHIZ THE WATCHMAIN ? | Wizard Of Love | Poduit par le label clermontois Spliff, voici les ACDC français |
SPECIALE | ||
Il n'avait pas 40 ans lorsqu'il a quitté ce monde et pourtant on l'avait donné pour mort à plusieurs reprises, Il faut dire que l'existence cahotique de John Anthony Genzale lui laissait peu de chances de vivre un jour de ses rentes. A 19 ans, il intègre l'un des plus jouissifs groupes qu'allaient nous donner les '70's : les New York Dolls. Calé sur une section rythmique puisssante, il impose un son de guitare unique aux côtés du guitariste Sylvain Sylvain, d'un David Johansen poussant Jagger vers la sortie. Le look, l'attitude et les compos en feront l'une des références de la 1ère moitié des '70's. Réfractaires à leur prise en main par Malcolm Mc Laren, le batteur Jerry Nolan et Johnny les plantent, début 75, au début d'une tournée en Floride. Rentrés à New York, ils recrutent Richard Hell qui vient de quitter Television, puis un guitariste, Walter Lure, Les égos sont trop forts pour que cette 1ère mouture des Heartbreakers perdure : un inconnu, Billy Rath, sera l'excellent bassiste sur l'unique LP studio "L.A.M.F." . Entretemps, les briseurs de coeurs auront mis à feu la vieille Angleterre en pleine déflagration punk, Johnny s'y fera des amis qui l'accompagneront sur son 1er album solo "So alone", Chacun des suivants aura sa particularité : acoustique, rythmé par une paire black ou florilège de vieilleries illustrant à merveille l'apport des migrants tel Dion, d'origine italienne comme Johnny. Puis, finalement, l'intrépide gosse du Queens rendit l'âme (et les armes), 20 ans seulement après avoir subjugué l'avant-garde de la Grosse Pomme. Les NYD, eux, sous l'impulsion d'un certain Morrissey, ex leader des Smiths, et surtout responsable du fan club en Angleterre, provoquera leur reformation au début des années 2000 pour d'abord un concert à Londres ou plus de 37 ans aprés, ils viendront enflammer la scène, avec un album à la clef en 2007, mais malheureusement, peu de temps aprés le concert, le décés du batteur Jerry Nolan, viendra endeuiller ce groupe qui aura été suivi d'une "pouasse" constante...Alain à la programmation de cette émission, voici une des spéciales qui nous tient le plus à coeur, pendant une heure, je veux biensur parler de Johnny Thunders et ses poupées de New York... Alain & Lionel | ||
Ramassis de vauriens ou nouveaux Stones ? | | Sur "Que sera sera" :
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NEW YORK DOLLS | Don't mess with cupid | Reprise d'un titre écrit |
NEW YORK DOLLS | Quelques avant le décès | |
Arrivée d'un batteur d'exception : Jerry Nolan | |
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NEW YORK DOLLS | Seven day week end | Reprise de Gary U.S Bonds, |
NEW YORK DOLLS | Bad girl | Produit par un génial (?) bidouilleur : |
Le producteur des Shangri-Las aux manettes | | |
NEW YORK DOLLS | Ecrit et chanté par Johnny, | |
THE HEARTBREAKERS | Thunders & Nolan testent | |
Malcolm Mc Laren n'a pas de rancune | | Sur "Village green..." :
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THE HEARTBREAKERS | Reprise des Contours | |
THE HEARTBREAKERS | L'hymne d'une génération | |
L'album punk-rock par excellence | | |
THE HEARTBREAKERS | I love you | 12 chansons irrésitibles |
Johnny THUNDERS |
| N'apparaitra que sur la |
La vraie nature d'un héroïnomane | | |
Johnny THUNDERS | She's so untouchable | Avec Ph. Lynott, |
Johnny THUNDERS | Chanson datant de 75, | |
Le 1er guitar-hero à nous la jouer "Unplugged" | | |
JOHNNY THUNDERS & Patti PALLADIN | Hommage à l'autre gloire rital | |
JOHNNY THUNDERS | Short lives | Collaboration fructueuse |
A l'aise avec ses racines "melting-pot"? | | |